Le SOLIRIS est enfin autorisé en Europe afin de traiter le SHUa (Syndrome Hémolytique et Urémique Atypique).

Première GRANDE VICTOIRE.
Reste à décliner cette AMM dans les états membres européens en vue de la prise en charge par les organismes de remboursements.

30/11/11 à 12:34

Soliris® (éculizumab) obtient une autorisation de mise sur le marché en Europe pour le traitement des patients atteints du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa)

Par Monsieur N. Mullier (AIRG-France)

C’est le premier et seul traitement approuvé à la fois en Europe et aux États-Unis pour les patients souffrant du SHUaune maladie extrêmement rare et potentiellement mortelle?

Soliris (éculizumab) obtient une autorisation de mise sur le marché en Europe pour le traitement des patients atteints du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa)

Alexion Pharmaceuticals, Inc. (Nasdaq: ALXN) a annoncé aujourd’hui que la Commission Européenne (CE) avait étendu l’indication thérapeutique du Soliris® (éculizumab) au traitement des patients pédiatriques et adultes souffrant du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa). Soliris est le premier traitement approuvé dans l’Union Européenne pour soigner le SHUa, une maladie génétique chronique extrêmement rare, potentiellement mortelle, qui détruit progressivement les organes vitaux, ce qui peut entraîner un accident vasculaire cérébral, une cardiopathie, une insuffisance rénale ou la mort.

La morbidité et la mortalité prématurée dans le cas du SHUa sont causées par une activation chronique incontrôlée du système du complément, aboutissant à la formation de caillots de sang dans les petits vaisseaux sanguins dans l’organisme tout entier, appelée microangiopathie thrombotique ou MAT.2,3 Malgré des soins de soutien, plus de la moitié de tous les patients atteints de SHUa succombent, nécessitent une dialyse rénale ou présentent des lésions rénales permanentes dans l’année suivant le diagnostic.

« L’approbation de Soliris pour le SHUa en Europe est un cap majeur franchi pour les patients atteints du SHUa, dont l’activation incontrôlée du complément entraîne la défaillance progressive d’un organe et un large éventail de complications potentiellement mortelles », a déclaré le Dr Christophe Legendre, Professeur de Néphrologie à l’Université René Descartes-Hôpital Necker de Paris.5 « lors des études cliniques, le traitement chronique par Soliris a engendré une réduction rapide et durable de la MAT induite par le complément. Ce médicament modifie l’évolution du SHUa et peut faire une grande différence dans la vie des patients ».

Soliris, le premier inhibiteur de sa catégorie de la voie terminale du complément, cible spécifiquement l’activation incontrôlée du complément. La CE a accordé une autorisation de mise sur le marché de Soliris pour le traitement des patients pédiatriques et adultes atteints du SHUa. La section Informations cliniques de l’étiquette du produit dans l’UE indique : « Il est recommandé de poursuivre le traitement par Soliris pendant toute la vie du patient, sauf si l’arrêt du Soliris est cliniquement justifié », tel que décrit dans la sous-section Mises en gardes spécifiques et précautions particulières d’emploi. Alexion entamera des discussions sur le remboursement du médicament avec les autorités de santé des principaux pays européens et prévoit de commencer à s’occuper des patients atteints du SHUa dans les premiers pays européens durant le premier semestre 2012 ; les autres pays européens suivront d’ici le milieu de l’année 2013.

« L’approbation de la CE constitue une autre étape décisive pour Soliris ; elle donne l’espoir d’une vie transformée aux familles européennes qui vivent avec cette maladie grave, dévastatrice et potentiellement mortelle », a déclaré le Dr Leonard Bell, Président-directeur général d’Alexion. « Nous allons travailler avec diligence avec les autorités de santé des différents pays pour que Soliris soit disponible dès que possible aux enfants et aux adultes souffrant du SHUa ».

Soliris a déjà été approuvé par la FDA américaine (Food and Drug Administration) le 23 septembre 2011 pour le traitement des patients atteints du SHUa en vue de prévenir la microangiopathie thrombotique induite par le complément. Soliris est également approuvé aux États-Unis, dans l’Union Européenne, au Japon et dans d’autres pays, comme premier traitement destiné aux patients atteints d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN), un trouble sanguin débilitant, extrêmement rare et potentiellement mortel.

Soliris dans les données cliniques sur le SHUa

L’approbation de Soliris comme traitement indiqué pour le SHUa repose sur des données provenant de deux essais cliniques pivots ouverts prospectifs chez des patients adolescents et adultes atteints de SHUa, ainsi que sur une troisième étude rétrospective réalisée chez des patients pédiatriques atteints du SHUa, qui portaient conjointement sur un large éventail de patients atteints du SHUa. Tous les patients traités par Soliris conformément aux recommandations ont présenté une réduction rapide et durable de l’activité terminale du complément, et ceux qui ont bénéficié d’une administration régulière de Soliris ont présenté une réduction rapide et durable de la microangiopathie thrombotique (MAT) induite par le complément.

Dans l’étude C08-003 A/B, qui comprenait 20 patients ayant préalablement bénéficié d’un traitement de longue durée du SHUa avant de débuter le Soliris, 16 des 20 patients traités par Soliris (80%) n’ont pas présenté de survenue d’une microangiopathie thrombotique, définie par au moins 12 semaines consécutives de stabilité de la numération plaquettaire, sans échange/infusion de plasma (PE/PI) et sans nouveaux cas de dialyse. Une normalisation hématologique a été observée chez 18 des 20 patients traités par Soliris (90%). Les fonctions rénales, telles que mesurées par le récepteur du facteur de croissance endothélial (eGFR), ont progressé durant le traitement par Soliris, et aucun patient n’a nécessité de nouveau cas de dialyse.

Dans l’étude C08-002 A/B, qui comprenait 17 patients présentant des complications cliniques progressives de la MAT malgré un PE/PI intensif, Soliris a inhibé la MAT induite par le complément, comme le montre une amélioration sensible de la numération plaquettaire du point de départ jusqu’à la semaine 26 de 73×109/L (p=0.0001). Une normalisation hématologique a été observée chez 13 des 17 patients traités par Soliris (76%). Chez 15 des 17 patients traités par Soliris (88%), on n’a pas observé de survenue d’une microangiopathie thrombotique (numération plaquettaire stable, pas de PE/PI et pas de nouveau cas de dialyse). Les fonctions rénales, telles que mesurées par le récepteur du facteur de croissance endothélial (eGFR), ont progressé sensiblement durant le traitement par Soliris, et quatre patients sur cinq qui avaient besoin de dialyse lors de l’admission à l’étude ont pu interrompre la dialyse pendant la durée du traitement. Les patients ont également signalé une amélioration de leur qualité de vie liée à leur santé.

L’étude C009-001r comportait 15 patients pédiatriques (âgés de 2 mois à plus de 12 ans) qui ont reçu Soliris en dehors des essais cliniques prospectifs et avec ou sans échange/infusion de plasma préalable. La numération plaquettaire a été normalisée chez 14 des 15 patients pédiatriques traités par Soliris (93%). On a également observé chez tous les patients traités par Soliris une réduction du taux des interventions en cas de survenue de microangiopathie thrombotique. Les données d’efficacité pour ces patients pédiatriques étaient en cohérence avec les résultats des patients recrutés dans le cadre des études prospectives sur le SHUa. Aucun patient pédiatrique n’a nécessité de nouvelle dialyse durant le traitement par Soliris.

Soliris a été bien toléré dans ces études cliniques. Les événements indésirables les plus fréquemment signalés étaient l’hypertension, l’infection des voies respiratoires supérieures et la diarrhée.

À propos du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa)

Le syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa) est une maladie chronique extrêmement rare et potentiellement mortelle, dans laquelle une déficience génétique dans l’un au moins des gènes régulateurs complémentaires entraîne une activation incontrôlée du complément tout au long de la vie qui aboutit à une microangiopathie thrombotique (MAT) induite par le complément ainsi que la formation de caillots sanguins dans les petits vaisseaux sanguins dans tout l’organisme.1,2 L’activation incontrôlée permanente du complément chez un patient atteint du SHUa entraîne un risque de microangiopathie thrombotique tout au long de la vie, qui aboutit à des lésions rénales, cérébrales, cardiaques – et dans d’autres organes vitaux?soudaines, catastrophiques et potentiellement mortelles, ainsi qu’au décès précoce. 2,3 Plus de la moitié de tous les patients atteints de SHUa décèdent, nécessitent une dialyse rénale ou présentent des lésions rénales permanentes dans l’année qui suit le diagnostic.4 Les patients atteints du SHUa bénéficiant d’une greffe de rein contractent généralement une microangiopathie thrombotique systémique ultérieure qui aboutit à un taux d’échec de la greffe de 90 %.6

Le SHUa touche à la fois les enfants et les adultes. 60 % des patients d’un groupe important de patients atteints du SHUa maladie ont été diagnostiqués pour la première fois avant l’âge de 18 ans.6 La microangiopathie thrombotique induite par le complément entraîne également une réduction de la numération plaquettaire (thrombocytopénie) et la destruction des globules rouges sanguins (hémolyse). Alors que les mutations ont été identifiées dans au moins dix gènes régulateurs à complément distincts, les mutations ne sont pas identifiées chez de 30 à 50 % des patients diagnostiqués comme étant atteints du SHUa.7

À propos de Soliris

Soliris est un inhibiteur de la voie terminale du complément développé par Alexion, du laboratoire à la mise sur le marché, en passant par l’approbation réglementaire. Soliris a été approuvé aux Etats-Unis, dans l’Union européenne, au Japon et dans d’autres pays, comme premier et seul traitement destiné aux patients atteints d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN), un trouble sanguin débilitant, extrêmement rare et potentiellement mortel, caractérisé par une hémolyse induite par des compléments (destruction de globules rouges). Soliris a été approuvé aux États-Unis,comme premier et seul traitement destiné aux patients atteints de syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa), un trouble génétique, extrêmement rare et potentiellement mortel, caractérisé par une microangiopathie thrombotique induite par des compléments (caillots dans les petits vaisseaux sanguins). L’efficacité de Soliris dans le traitement du SHUa repose sur les effets sur la microangiopathie thrombotique et sur les fonctions rénales. Des essais cliniques prospectifs chez des patients supplémentaires sont en cours pour confirmer les avantages de Soliris chez les patients atteints du patients SHUa. Soliris n’est pas indiqué pour le traitement des patients atteints du syndrome hémolytique et urémique causé par les Escherichia coli producteurs de shiga-toxines (STEC-HUS). L’approche révolutionnaire d’Alexion vis-à-vis de l’inhibition du complément a été récompensée par certains des plus prestigieux prix de l’industrie : le Prix Galien USA 2008 du Meilleur produit technologique, avec de larges implications pour le futur de la recherche biomédicale, et le Prix Galien France 2009 dans la catégorie Médicaments traitant les maladies rares. Pour de plus amples informations sur Solaris, y compris les renseignements posologiques complets, consultez le site www.soliris.net.

Informations importantes concernant la sécurité

Soliris est habituellement bien toléré chez les patients atteints d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) et du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa). Chez les patients atteints d’HPN et traités par Soliris, les effets secondaires les plus fréquents observés dans des études cliniques étaient les céphalées, la rhinopharyngite(nez qui coule), les douleurs dorsales et la nausée. Le traitement par Soliris des patients atteints d’HPN ne devrait pas altérer la gestion des anticoagulants, car l’effet de la suspension du traitement anticoagulant lors du traitement par Soliris n’a pas été établi. Chez les patients atteints de SHUa et traités par Soliris, les effets secondaires les plus fréquents observés dans des études cliniques étaient l’hypertension, l’infection des voies respiratoires supérieures, la diarrhée, les céphalées, l’anémie, les vomissements, la nausée, l’infection des voies urinaires et la leucopénie.

En Europe, le Résumé des caractéristiques du produit (RCP) pour Soliris comprend une mise en garde particulière et des précautions d’emploi : « En raison de son mode d’action, l’usage de Soliris augmente la vulnérabilité du patient aux infections à méningocoque (Neisseria meningitidis). Ces patients peuvent être exposés à un risque de méningococcie attribuable à des sérogroupes rares (particulièrement Y, W135 et X), bien qu’une méningococcie attribuable n’importe quel sérogroupe puisse se produire. Pour réduire le risque d’infection, tous les patients doivent être vaccinés au moins 2 semaines avant de recevoir Soliris. Les patients âgés de moins de 2 ans et ceux qui sont traités par Soliris moins de 2 semaines après avoir reçu un vaccin antiméningococcique doivent prendre des antibiotiques prophylactiques appropriés jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Les patients doivent être revaccinés conformément aux directives médicales en vigueur pour l’utilisation des vaccins. Les vaccins tétravalents contre les sérotypes A, C, Y et W135 font fortement recommandés, de préférence conjugués. La vaccination peut ne pas être suffisante pour prévenir les infections à méningocoque. Il convient d’accorder une attention particulière aux instructions officielles sur l’utilisation appropriée des agents antibactériens. Des cas d’infections à méningocoque graves ou fatals ont été signalés chez des patients traités par Soliris. Tous les patients doivent être suivis pour détecter les signes précoces de méningococcie, évalués immédiatement en cas de suspicion d’infection et traités aux antibiotiques si nécessaire. Les patients doivent être informés de ces signes et symptômes ; le cas échéant, ils doivent immédiatement consulter un médecin ».

L’étiquette du produit aux États-Unis inclut également une mise en garde encadrée : « Des infections à méningocoque potentiellement mortelles et mortelles ont été signalées chez des patients traités par Soliris. Si elle n’est pas décelée et traitée à temps, une infection à méningocoque peut rapidement menacer la vie des patients ou devenir mortelle. Suivre les recommandations les plus récentes du Comité consultatif du CDC sur les pratiques d’immunisation (ACIP), en matière de vaccination des patients présentant des insuffisances de complément contre les infections à méningocoque. Immuniser les patients à l’aide d’un vaccin à méningocoque au moins deux semaines avant l’administration de la première dose de Soliris, à moins que le risque de retarder le traitement à base de Soliris ne l’emporte sur celui de développer une infection à méningocoque (voir infection à méningocoque graves (5.1) pour des recommandations supplémentaires sur la gestion de l’infection à méningocoque.) Surveiller, chez les patients, les signes précoces d’infection à méningocoque et agir sans délai en cas de soupçon d’infection. Soliris n’est disponible que dans le cadre d’un programme restreint d’une stratégie d’évaluation et d’atténuation des risques (Risk Evaluation and Mitigation Strategy – REMS). Dans le cadre de cette stratégie, les médecins doivent s’inscrire au programme (5.2). Pourdes informations relatives à toute participations au programme REMS de Soliris et autres informations supplémentaires, veuillez téléphoner au : 1-888-soliris (1-888-765-4747) ».

Avant de débuter un traitement par Soliris, tous les patients et leurs médecins prescripteurs aux États-Unis seront inscrits dans le Registre de sécurité Soliris, dans le cadre d’un programme spécial de gestion des risques qui comprend une formation initiale et continue, ainsi qu’une surveillance à long terme pour détecter les nouvelles découvertes en matière de sécurité.

Veuillez consulter la posologie complète de Soliris, y compris la MISE EN GARDE encadrée concernant le haut risque d’infection à méningocoque.

À propos d’Alexion

Alexion Pharmaceuticals, Inc. est une société biopharmaceutique qui se consacre à répondre aux besoins des patients souffrant de troubles graves et extrêmement rares, grâce à l’innovation, le développement et la commercialisation de produits thérapeutiques qui changent la vie. Alexion est le chef de file mondial de l’inhibition du complément ; la Société a développé et commercialise Soliris® (éculizumab) comme traitement des patients atteints d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) et du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa), deux troubles débilitants, extrêmement rares et potentiellement mortels causés par l’activation chronique incontrôlée du complément. Soliris est actuellement approuvé dans plus de 35 pays pour le traitement de l’HPN, et aux États-Unis pour le traitement du SHUa. Alexion évalue d’autres indications potentielles du Soliris et poursuit le développement d’autres candidats-médicaments biotechnologiques novateurs en phase de développement précoce. Le présent communiqué de presse, ainsi que des informations relatives à Alexion Pharmaceuticals,Inc., peuvent être consultés sur le site www.alexionpharma.com.

Énoncés prospectifs

Le présent communiqué de presse contient des déclarations prospectives, dont des déclarations relatives au développement clinique prévu, d’importantes étapes en matière réglementaire et commerciale, et des bienfaits potentiels en matière de médecine et de santé de Soliris® (éculizumab) pour le traitement potentiel de patients atteints du SHUa. Les déclarations prospectives sont sujettes à des facteurs susceptibles d’entraîner des écarts entre les résultats et les projets d’Alexion et ceux attendus, y compris, à titre d’exemple, les décisions des autorités réglementaires en matière d’autorisation de mise sur le marché ou de restrictions importantes portant sur la commercialisation de Soliris pour ses indications actuelles ou de nouvelles indications potentielles, ainsi que divers autres risques mentionnés le cas échéant dans les documents déposés par Alexion auprès de la Securities and Exchange Commission (la commission américaine de surveillance des opérations boursières), y compris, mais non exclusivement, les risques examinés dans le rapport trimestriel d’Alexion sur formulaire 10-Q pour la période se terminant le 30 septembre 2011, ainsi que dans d’autres documents déposés par Alexion auprès de la Securities and Exchange Commission. Alexion n’envisage nullement d’actualiser ces déclarations prospectives dans le but de refléter des événements ou des éléments survenus après la date du présent communiqué de presse, sauf dans la mesure où l’exigent les lois en vigueur.

[ALXN-G]

Références et notes de bas de page

1. Noris M, Remuzzi G: Le syndrome hémolytique et urémique atypique. N Engl J Med 2009 361:1676-87

2. Benz K, Amann K. Nouveaux aperçus dans la microangiopathie thrombotique. Curr Opin Nephrol Hypertens 2010 May;19(3):242-7

3. Tsai HM. La biologie moléculaire de la microangiopathie thrombotique. Kidney Int 2006 Jul;70(1):16-23.

4. Caprioli J, Noris M, Brioschi S, et al; pour l’International Registry of Recurrent and Familial HUS/TTP. La génétique du syndrome hémolytique et urémique : l’impact des mutations MCP, CFH, et IF sur la présentation clinique, la réponse au traitement et les résultats. Blood. 2006;108:1267-1279.

5. Le Dr Christophe Legendre bénéficie d’une subvention de recherche de la part d’Alexion Pharmaceuticals, Inc. et officie comme consultant pour la société.

6. Bresin E, Daina E, Noris M, et al; International Registry of Recurrent and Familial HUS/TTP. Résultat de la greffe rénale chez les patients atteints du syndrome hémolytique et urémique non causé par les shiga-toxines : signification pronostique du contexte génétique. Clin J Am Soc Nephrol. 2006;1:88-99.

7. Noris M, Caprioli J, Bresin E, et al. Rôle relatif des anomalies du complément génétique dans les syndromes hémolytiques et urémiques sporadiques et familiaux, et leur impact sur le phénotype clinique. Clin J Am Soc Nephrol. 2010;5:1844-1859.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Alexion Pharmaceuticals, Inc.

Irving Adler, Directeur principal des communications d’entreprise

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Texte original sur le site d’Alexion Pharma  www.alxn.com